jeudi 22 février 2024

Voir sans être vus ...et même de nuit

 La caméra de chasse nous offre de belles surprises !

Placée à différents endroits de Kerval, elle permet de se rendre compte que le jardin est bel et bien habité, et par de nombreux animaux , qui bien sûr ne se montrent pas quand une horde d'enfants bruyants débarque dans leur pied-à-terre !

De jour, la caméra a observé de nombreux oiseaux, dont le troglodyte mignon si amusant et un magnifique gros bec.

 


 

De nuit, la caméra a filmé un mignon petit campagnol, mais aussi un blaireau, un renard, un chevreuil, et ce à plusieurs reprises .







Pour placer la caméra, nous essayons de rechercher dans le jardin des signes de passage, des creux et des terriers, et nous plaçons la caméra devant durant quelques jours . Emotions garanties quand on regarde le résultat !

La cabane en osier vivant

 

La cabane en osier vivant :


La maman d’un élève de maternelle qui est vannière, nous a apporté des tiges d’osier pour faire une cabane en osier vivant .

Nous avons commencé par préparer le terrain :

On a tracé un cercle au sol de 3 m de diamètre. Pour ça, on a utilisé un mètre qu’on a déroulé à 1m50 et on a tourné autour du centre . On a ensuite retiré les herbes pour bien dégager le cercle et on a planté des bâtons pour montrer où sera la cabane en osier .

A l’intérieur on a un peu nettoyé aussi avec des petites tranches .

La semaine suivante, on a commencé par tailler un peu le bout des tiges d’osier avec des sécateurs . Puis on a fait des trous avec un bambou avant de planter les osiers. On les a plantés à environ 20 cm les uns des autres ( on a calculé ça en maths : 40 perches sur environ 9m20, sans oublier de mettre une porte!)

On a commencé à les tresser pour que ça tienne bien, mais ce n’est pas fini !

Brune – Mia






L’osier c’est des branches de saule . C’est un bois qui s‘enracine facilement . Il doit ensuite repartir et faire des feuilles. Ce qui fait que la cabane sera vivante : avec des feuilles l’été ce qui nous fera de l’ombre et pas l’hiver .

La cabane dans les bambous

 

Ce qu‘on veut faire: On veut faire un creux dans les bambous pour pouvoir observer le jardin par-derrière sans être vus

On veut enlever tous les bambous qui traînent par terre . On a coupé les bambous en arc de cercle . Pour ça, on a utilisé une cisaille, une scie et des sécateurs pour les petits. Les bambous déjà morts ( qui sont bruns) se cassent facilement. Les autres, on les plie pour pouvoir les scier à la base.

On a gardé les bambous verts sciés pour la cabane en ronce. On a fait 2 tas : 1 tas de bambous morts et 1 tas de bambous verts

Kiara- Jakub – Arthur LF

 





 

La cabane dans le roncier


On a coupé et arraché des ronces pour former un trou . On va planter des branches dans le talus pour faire une sorte de toit qui sera recouvert par les ronces qui vont pousser.

Nous avons déblayé le roncier avec 2 cisailles et des sécateurs, et des râteaux pour enlever les ronces qui étaient tombées. À la prochaine séance ,on creusera avec des petites pioches pour le sol ,et on va enterrer des gros bambous dans le talus pour le toit . Puis les ronces vont pousser dessus !




 


Gwen ; Eva; Chloé

Les cabanes

 Au cours d'une de nos interviews sur radio évasion, nous avons rencontré une photographe animalière : Laéticia Beauverger. Elle nous a parlé de ses affuts dans la nature.

notre interview de Laeticia


Elle nous a donné envie de faire des cabanes pour pouvoir observer sans être vu.

Alors on a cherché comment faire des cabanes et où les mettre dans le jardin pour pouvoir faire des observations .

On a décidé d'en faire plusieurs pour pouvoir se répartir en petits groupes :

Une dans le roncier, une dans les bambous, une en osier vivant, et une près de la mare . 

On en a commencé 3 ( pas encore la dernière)
On vous raconte comment on a fait.

l'interview avec Laëticia


Laëticia nous montre ses filets pour l'affut